"Et si, en dépit de la brutalité de la
méthode, le référendum organisé par le Premier ministre hongrois sur les
réfugiés témoignait non pas d'un désir de rupture vis-à-vis de l'Union
européenne, mais au contraire une volonté de s'y intégrer davantage ?
D'abord, on constate un souci évident de distinguer les procédures et de
respecter les formes. Le référendum de dimanche ne porte pas sur la
décision du 22 septembre prise par les 28 ministres de l'Intérieur à la majorité qualifiée de répartir par quotas les réfugiés affluant sur les côtes méditerranéennes. " La suite sur lesechos.fr
vendredi 30 septembre 2016
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