"A Varsovie et à Budapest, se sont installés des régimes populo-nationalistes inspirés de la Russie de Poutine qui détruisent l'équilibre des pouvoirs, célèbrent les valeurs nationales et font fi de la liberté de la presse.
Ce matin-là, quand Geza Csakvari s'est présenté à la porte de son
journal, Népszabadság ("la Liberté du peuple"), il a aussitôt compris
que c'était fini. Des vigiles barraient le passage. Impossible d'entrer.
"En 24 heures, on a vu nos courriels coupés, notre site internet fermé
et on a reçu une lettre nous suspendant de nos fonctions. C'est une
exécution", dénonce le journaliste. C'est ainsi qu'est mort, le 9
octobre 2016, le plus grand quotidien hongrois, l'un des derniers médias
encore indépendants du pays." La suite sur tempsreel.nouvelobs.com (article payant)
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