"Un réfugié syrien en lévitation au-dessus de Budapest, une immersion
poignante en réalité virtuelle dans l'enfer des migrants
latino-américains : le cinéma prend la question des migrants à bras le
corps au Festival de Cannes.
Dans une Europe aux prises avec la crise des réfugiés et la
montée des extrémismes, c'est par le cinéaste hongrois Kornél Mundruczó,
42 ans, déjà deux fois en compétition, que le sujet a fait irruption
sur la Croisette vendredi.
Dans "La lune de Jupiter", en lice pour la Palme d'or, le
réalisateur fait le pari du fantastique pour livrer "un film
politiquement incorrect. L'histoire débute par le lâche assassinat d'un
jeune Syrien cherchant l'asile, Aryan, par un policier hongrois.
Trois balles dans la poitrine pour celui qui tentait de
gagner l'Europe et paiera pour ses frères. Dans la boue de la zone
frontière, Ayran ressuscite et tel un ange s'envole dans les airs." La suite sur ladepeche.fr
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