"Le Hongrois Kornél Mundruczó déboule en compétition avec un film
détonant, mettant en scène un chirurgien cynique en quête de rédemption
et qui cherche à sauver un migrant.
Ce type est fou. Kornél Mundruczó est dingue. Il y a trois ans, dans White Dog,
il imaginait Budapest envahi par des chiens : sous la houlette d’une
sorte de Spartacus, ils entreprenaient une lutte féroce contre les
hommes qui, durant des siècle, les avaient humiliés et asservis. La Lune de Jupiter est,
à nouveau, un film étonnant, détonant (on l’aime ou on le déteste, pas
de juste milieu), totalement impressionnant, incongru jusqu’à
l’insolence." La suite sur telerama.fr
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