Par Pierre Waline
"On a les épouvantails qu’on peut
Lors d’un fameux entretien télévisé de décembre 1965, le général de Gaulle comparait Lecanuet à “un cabri sautant sur sa chaise, disant: Europe, Europe!”.
C’était il y a plus de cinquante ans et depuis, beaucoup d’eau a coulé
sous les ponts. Le général qui serait pour le moins surpris s’il
redescendait aujourd’hui parmi nous, de tomber sur cette usine à gaz
quelque peu déglinguée que sont devenues les institutions de notre
pauvre communauté. Une sorte de monstre difforme et boiteux, embarrassé
de ses 27 petites et grosses pattes…
La Hongrie mord la main qui la nourrit
Certes, nos bureaucrates de Bruxelles, qui se mêlent constamment de
tout, ne sont pas exempts de critiques, voire des plus sévères.
Critiques qui valent également pour l’ensemble d’un système, devenu
obsolète et pratiquement ingérable. Mais, de là à en faire sa bête noire
et lui tomber sans cesse dessus à bras raccourcis? Telle cette campagne
d’affiches et spots omniprésente dans le paysage hongrois, “Stop! Arrêtons Bruxelles!”. On en trouve partout, jusque dans les couloirs du métro…" La suite sur causeur.fr
lundi 29 mai 2017
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