« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff.
« Dernier jour à Budapest, publié en Hongrie en 1940, réunit
de manière singulière deux virtuoses de la littérature hongroise du
XXe siècle. Sándor Márai, l’auteur des Braises, rend hommage à
son maître, Gyula Krúdy, dandy ténébreux et personnage légendaire de la
bohème littéraire de Budapest, surnommé ici Sindbad, comme le héros de
plusieurs de ses nouvelles.
Un matin du mois de mai, Sindbad quitte son domicile d’Óbuda en
promettant à sa femme de rapporter, avant la tombée de la nuit, les
soixante pengös nécessaires à l’achat d’une robe pour leur petite fille.
Mais à peine parti, ses bonnes intentions se dissipent." La suite sur frequenceterre.fr
dimanche 24 décembre 2017
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.