"Le sommet européen de mi-décembre a une fois de plus mis la politique
migratoire au cœur des débats. Il serait grand temps, estime cet
éditorialiste allemand, de regarder la réalité en face et de développer
de nouvelles formes de solidarité européenne.
Le président du Conseil européen Donald Tusk reçoit une volée de bois
vert parce qu’il a mis en doute l’utilité des quotas de répartition des
réfugiés entre les États membres. Pour ses partisans, ce système sert à
la fois la “solidarité européenne” et la nécessité de coordonner la
politique migratoire de l’Union européenne (UE). Les doutes de Tusk
sont pourtant justifiés.
D’une part, c’est un fait que les quotas
divisent la communauté : des chefs de gouvernement de gauche, comme le
[social-démocrate] slovaque Robert Fico, et de droite, comme le
[populiste] hongrois Viktor Orbán, y sont fermement opposés et savent
rallier derrière eux sur ce thème la population de leur pays" La suite sur courrierinternational.com (article payant)
samedi 30 décembre 2017
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