"Après la nomination du jeune conservateur à la tête du gouvernement
autrichien, la presse hongroise est partagée entre la crainte d’une
“orbánisation” de Vienne et l’enthousiasme de voir arriver un
gouvernement qui défend une ligne politique proche de Budapest.
Comme après l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis,
Viktor Orbán fut l’un des premiers à féliciter le nouveau chancelier
autrichien Sebastian Kurz, investi lundi 18 décembre. Les médias magyars
ont attentivement scruté les négociations menant à l’émergence de la
coalition bleue-noire entre conservateurs et l’extrême droite [ÖVP-FPÖ] dans l’ancienne capitale de l’empire habsbourgeois commun, démantelé au sortir de la Première Guerre mondiale." La suite sur courrierinternational.com
vendredi 22 décembre 2017
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