"Parrain d’ONG et de centres d’enseignement
partout dans le monde, notamment en Europe de l’Est, ce philanthrope
américain de 87 ans est devenu ces dernières années l’ennemi public
numéro un dans la région, notamment dans son pays natal, la Hongrie. En
novembre 2017, le bimestriel américain Foreign Policy est revenu sur la vague anti-Soros, un phénomène désormais mondial.
À l’hiver 2016, alors que les manifestants anticorruption déferlaient
dans les rues de Bucarest, un présentateur télévisé accusa le
milliardaire philanthrope juif américain d’origine hongroise George
Soros d’avoir payé des chiens pour qu’ils manifestent. Le mouvement de
protestation qui se déroulait dans la capitale roumaine, déclenché par
un texte de loi voté la nuit en catimini pour décriminaliser les faits
de corruption, était le plus important qu’ait connu le pays depuis la
chute du communisme, en 1989. Romania TV – une chaîne qui, si elle n’est
pas la télévision d’État officielle, est favorable au régime – a
prétendu que les manifestants avaient été rémunérés. “Les adultes ont été payés 100 lei [21,50 euros], les enfants 50 lei [10,80 euros] et les chiens 30 lei [6,50 euros]”, affirma un présentateur." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
samedi 27 janvier 2018
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.