"Si 2016 marque une année record dans la participation de l’édition italienne à la Foire de Francfort, c’est également que l’industrie vit un renouveau. Après cinq années d’une crise sévère, le pays renaît de ses cendres, et entend le faire savoir. Federico Motta, président de l’association des éditeurs, a livré un discours allant dans le sens d’un retour de l’Italie sur le devant de la scène internationale.
C’est qu’en 2011 et 2014, le marché du
livre avait perdu près de 20 % de sa valeur, soulignait le président de
l’AIE, pour qui 2016 représente le point zéro d’une réelle renaissance.
« En réalité, nous pensons aujourd’hui qu’il est impossible de
relancer l’édition italienne sans tenir compte des dimensions
européennes et internationales », précise-t-il, en allusion directe au projet européen Aldus.
La Hongrie, isolée dans un silence inadmissible
Et de poursuivre son intervention en
évoquant l’édition... hongroise, dont l’Italie se sentirait
particulièrement proche. L’édition savante fut nationalisée dans le
pays, et, désormais, il n’est plus possible de réaliser des manuels
scolaires qui ne seraient pas parfaitement raccord avec les directives
du gouvernement." La suite sur actualitte.com
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