samedi 22 octobre 2016

La Hongrie a la mémoire courte. En maltraitant les réfugiés, elle oublie qu'il y a 60 ans d'autres pays ont accueilli les réfugiés hongrois

"Soixante ans après et à des milliers de kilomètres de là, la peur est encore gravée dans la mémoire de Judy Kepecz-Hays. « Nous marchions dans la forêt en direction de la frontière. Ma mère m'a dit de ne pas faire un bruit », se souvient-elle. « Il y a eu des accidents, des parents qui ont étouffé leur bébé qui pleurait dans leur tentative de ne pas se faire repérer par les soldats. »
 C'était début novembre 1956, peu après la répression violente du bref soulèvement en Hongrie, et Judy Kepecz-Hays fuyait ce pays avec ses parents, son frère de âgé trois ans et sa sœur âgée de 18 mois. Elle avait six ans. « Je me souviens avoir demandé un jour à ma mère ce que c'était que ce liquide rouge dans le caniveau. » " La suite sur amnesty.org

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