La fermeture soudaine et brutale du principal quotidien d’opposition Nepszabadsag (« Liberté
du peuple »), samedi 8 octobre, suscite toujours l’émotion en Hongrie.
Car depuis la chute du Mur, cet ancien organe du régime communiste,
fondé en 1956, lors du soulèvement contre le joug soviétique, restait le
plus gros tirage de la presse nationale, avec 46 000 exemplaires par
jour.
Des pertes conséquentes auraient justifié, selon son propriétaire, la mise au chômage technique de 90 salariés souvent redoutés pour leurs enquêtes contre le gouvernement du premier ministre nationaliste Viktor Orban. Dès le rachat du quotidien libéral et de centre-gauche en janvier 2014 et malgré des promesses d’indépendance et d’investissements, certains d’entre eux avaient fait part de leur scepticisme sur les intentions réelles de leur nouveau patron, l’homme d’affaires viennois Heinrich Pecina, 66 ans, fondateur de la firme Vienna Capital Partners (VCP). M. Pecina, qui en a quitté la direction en juin pour rejoindre le conseil de surveillance, réfute toute influence politique." La suite sur lemonde.fr (version payante)
Des pertes conséquentes auraient justifié, selon son propriétaire, la mise au chômage technique de 90 salariés souvent redoutés pour leurs enquêtes contre le gouvernement du premier ministre nationaliste Viktor Orban. Dès le rachat du quotidien libéral et de centre-gauche en janvier 2014 et malgré des promesses d’indépendance et d’investissements, certains d’entre eux avaient fait part de leur scepticisme sur les intentions réelles de leur nouveau patron, l’homme d’affaires viennois Heinrich Pecina, 66 ans, fondateur de la firme Vienna Capital Partners (VCP). M. Pecina, qui en a quitté la direction en juin pour rejoindre le conseil de surveillance, réfute toute influence politique." La suite sur lemonde.fr (version payante)
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