"Avec l'ombre de l'ANO d'Andrej Babiš qui plane sur la vie politique,
le journaliste tchèque Martin Ehl estime que la Tchéquie n'est pas à
l'abri d'une expérience "illibérale" telle qu'on l'observe en Pologne et
en Hongrie.
La frontière du possible s’étend en politique en Europe Centrale. Le
parti au pouvoir en Pologne change la façon de nommer les juges afin que
le Ministère de la Justice les ait sous son contrôle absolu. Et il veut
complètement changer le Tribunal Constitutionnel, le dernier organe de
contrôle sur lequel le parti n’a pas d’influence . . ." La suite sur hu-lala.org (article payant)
mercredi 26 juillet 2017
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