"En
2015, le Syrien Ahmed H. était incarcéré à tort pour « complicité
d’acte terroriste » lors d’affrontements avec des gardes-frontières à la
frontière serbo-hongroise. Après trois ans et demi derrière les
barreaux, il va enfin pouvoir retrouver son épouse et ses deux filles à
leur domicile à Chypre.
Condamné initialement à une peine de 10 ans de prison, ensuite réduite à 7 puis à 5 ans, Ahmed sera libéré le 19 janvier.
Sa
libération est un immense soulagement pour sa famille, même s’il
n’aurait jamais dû être poursuivi, et encore moins condamné, pour une
telle infraction." La suite sur amnesty.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.