"Gábor Gadó est certainement le personnage central de ce dossier Hongrie,
et l’interviewer répondait à une nécessité. Celui qui dans le milieu
des années 90 est arrivé en France, à une époque où le rideau de fer
laissait passer les musiques de marges, a attiré l’attention des
amateurs de jazz et a tissé des liens avec de nombreux musiciens
français.
Après plusieurs années de retrait discographique, toujours entre Budapest et Lyon, le guitariste revient avec Veil And Quintessence
un bijou en duo avec le trompettiste belge Laurent Blondiau. Sa parole
est comme son jeu, reconnaissable immédiatement : franche, persistante,
intelligente et claire ; le regard qu’il porte sur la musique hongroise
et européenne est fort et puissant." La suite sur citizenjazz.com
lundi 21 janvier 2019
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