"Depuis un mois, habitants, partis politiques et syndicats hongrois
s'unissent et manifestent contre le président au pouvoir depuis 2010.
"Saleté de Fidesz", "Orban dégage", "Nous ne sommes pas des esclaves"... Voici quelques-uns des slogans scandés dans les rues de Budapest contre la politique autoritaire
et ultra-nationaliste de Viktor Orban. Le président hongrois, au
pouvoir depuis 2010, est confronté depuis un mois à une fronde sociale inédite.
À l'origine
de ces manifestations de grande ampleur, l'adoption d'une loi
permettant à un employeur de réclamer jusqu'à 400 heures supplémentaires
par an à ses salariés, payables jusque trois ans après. Les syndicats
dénoncent une "loi esclavagiste" et, depuis cinq semaines, mêlent leurs voix à celles des défenseurs des droits de l'homme et des opposants politiques. "La défense des droits sociaux précède celle des droits civiques, explique l’économiste Zoltan Pogatch. Ce mouvement social est d’une ampleur inédite en Hongrie. Ce mouvement sonne le réveil des syndicats." La suite sur francetvinfo.fr
samedi 19 janvier 2019
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.