"A Csepel, banlieue de Budapest, le Fidesz au pouvoir fait du chantage pour le «non» au référendum sur les réfugiés. Et jouit de la propagande de médias à sa botte.
Pour aller à Csepel «la rouge», berceau des aciéries Lénine et de la
République des conseils (une révolution communiste ayant eu lieu
en 1919), aujourd’hui calme banlieue populaire de Budapest, il faut
prendre un petit train qui cahote à côté du Danube. Le long des voies,
des rues, dans les wagons, les mêmes panneaux : «Ne mettons pas en péril l’avenir de la Hongrie. Votons NON le 2 octobre.»
A la maison de la culture, dans un quartier verdoyant encadré de hautes
barres d’immeubles, se tient le meeting de campagne du Fidesz (Alliance
des jeunes démocrates), la droite nationaliste populiste du Premier
ministre, Viktor Orbán. Ce dimanche, elle appelle les électeurs à voter
contre la relocalisation par Bruxelles de demandeurs d’asile en Hongrie.
Mais la droite ne parle que de «migrants illégaux», jamais de réfugiés." La suite sur liberation.fr
samedi 1 octobre 2016
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