Deuxième roman de l’auteur hongrois György Dragomán, traduit dans une trentaine de langues, Le roi blanc
est l’histoire racontée par lui-même de Dzsátá, un garçon de 11 ans.
Dzsátá vit seul avec sa mère depuis le départ de son père « en voyage
(…) au bord de la mer, dans un centre de recherche, pour une affaire
urgente. » Supposé être absent juste une semaine, cela fait plus de six
mois que le père est parti lorsque le livre débute, et en ce 17 avril,
jour de l’anniversaire de mariage de ses parents, nous écoutons Dzsátá
nous raconter comment il a fait la surprise à sa mère de lui offrir dès
l’aube un beau bouquet de tulipes.
… puis elle a lissé ses cheveux en arrière et a soupiré, c’est toi mon
garçon ?, moi, je suis sorti sans rien dire et je me suis arrêté près de
la table, et je lui ai dit que je voulais lui faire une surprise, et je
lui ai demandé de ne pas m’en vouloir…
La surprise tourne courte avec la visite menaçante de deux « collègues »
du père, qui révèlent au lecteur ce que Dzsátá se refuse tout au long
du livre à admettre : que le séjour de recherche d’une semaine du père
est un euphémisme pour désigner le camp de travaux forcés du canal du
Danube." La suite sur passagealest.wordpress.com
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