"EXPLICATION - Parti de la dénonciation d’une « loi esclavagiste »
sur le travail, le mouvement de protestation en Hongrie s’est déplacé
contre les chaînes de télévision publiques à la solde du gouvernement.
Dans le pays, c’est la quasi-totalité du paysage médiatique qui se trouve à la main du pouvoir.
En Hongrie, la récente contestation populaire trouve très difficilement écho dans la presse, les radios et les télévisions. De nombreux médias d’opposition, fragilisés par le pouvoir en place, ont récemment disparu, à l’instar de titres de presse emblématiques tels que le Népszabadság, le Magyar Nemzet ou Heti Válasz. Et la totalité des chaînes de télévision publique sont aux mains du gouvernement.Sans relais pour se faire entendre, une douzaine de députés de l’opposition se sont rendus dans les locaux de la télévision publique, la MTVA, pour diffuser leurs revendications dans un communiqué. En vain. Après avoir passé la nuit dans les locaux,..." La suite sur la-croix.com
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Dans le pays, c’est la quasi-totalité du paysage médiatique qui se trouve à la main du pouvoir.
En Hongrie, la récente contestation populaire trouve très difficilement écho dans la presse, les radios et les télévisions. De nombreux médias d’opposition, fragilisés par le pouvoir en place, ont récemment disparu, à l’instar de titres de presse emblématiques tels que le Népszabadság, le Magyar Nemzet ou Heti Válasz. Et la totalité des chaînes de télévision publique sont aux mains du gouvernement.Sans relais pour se faire entendre, une douzaine de députés de l’opposition se sont rendus dans les locaux de la télévision publique, la MTVA, pour diffuser leurs revendications dans un communiqué. En vain. Après avoir passé la nuit dans les locaux,..." La suite sur la-croix.com
Et les chaînes de télévision publique françaises ne sont-elles pas aux mains du gouvernement ?
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