"Le mouvement contre la nouvelle loi travail «esclavagiste» et la mise en place de tribunaux administratifs soumis à l’État évolue en vaste contestation du système Fidesz.
Après la réélection triomphale de Viktor Orbán pour un troisième
mandat consécutif en avril 2018, la Hongrie semblait définitivement
acquise à la cause du leader «illibéral» ferraillant vaillamment contre Bruxelles, l'immigration et tout ce qui touche de près ou de loin au milliardaire honni George Soros.
Comme
en 2014, l’opposition morcelée et dévitalisée s’était tiré une balle
dans le pied en s’écharpant, au lieu de construire une stratégie commune
pour débouter le meilleur élève européen de Poutine.
Huit
mois plus tard, l’homme fort de Budapest, dont la suprématie n’a jamais
été écornée depuis son retour au pouvoir en 2010, affronte une colère
inédite, qui dure et pourrait se prolonger après les fêtes." La suite sur slate.fr
vendredi 21 décembre 2018
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