"Explication - La forte flexibilisation du temps de travail, autorisée par une nouvelle loi, inquiète les Hongrois, qui ont déjà un des niveaux de vie les plus bas d’Europe.
► Que s’est-il passé mercredi 12 décembre dans la capitale hongroise ?
C’est
suffisamment rare pour être souligné : 1 500 à 2 000 personnes se sont
rassemblées dans la soirée devant le parlement hongrois, à Budapest, ont
crié des slogans hostiles au pouvoir, ont fait résonner des sifflets et
des sirènes. Parmi ces manifestants, plusieurs se sont symboliquement
mis à genoux en face de rangées de forces de l’ordre pour symboliser le
fait d’être « devenus esclaves ».
Colère sans lendemain ou prémices d’un
mouvement ? Cette petite foule protestataire, dans laquelle se
trouvaient des membres de l’opposition politique au premier ministre Viktor Orban,
présent à l’intérieur du parlement et apparu visiblement impassible aux
bruits extérieurs, a fait pression devant l’édifice pour contester
l’adoption le jour même de lois controversées sur la justice et sur la
flexibilisation du temps de travail. Les manifestants ont également
tenté d’investir le siège du Fidesz, le parti du premier ministre au
pouvoir depuis 1990." La suite sur la-croix.com
samedi 15 décembre 2018
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.