Le D de Karinthy
Difficile d’éviter la magie du
feuilleton. Déjà, au troisième coup, je me rends compte que ce n’est pas
moi qui tient ce feuilleton. Non, c’est le feuilleton qui me tient. Par
là, je ne veux pas seulement dire que c’est « ma chatte qui se joue de
moi » (Montaigne), voire que « c’est pas l’homme qui prend la mer »
(Renaud). Il s’agit juste de constater une évidence : j’ai beau vouloir écrire sur la manière de traduire les poèmes de Nietzsche, le jeu des Zoum Zoum et des « A de l’atlantique » m’entraîne dans sa danse alphabétique…
C’est un phénomène qui m’a toujours amusé dans la monumentale, savante et dialectique Histoire de la littérature hongroise dirigée par Tibor Klaniczay [1]. Un phénomène de casse. Oui, vous avez bien lu. De casse." La suite sur revuecatastrophes.wordpress.com
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