"Bien avant les « gilets jaunes », le président français était devenu la cible des journalistes hongrois proches de Viktor Orban.
Cela ne s’invente pas : la rédaction du Pesti Sracok est
installée dans les anciens locaux budapestois des services secrets
bulgares. Du temps du communisme, ces derniers étaient chargés du « sale boulot »,
lorsqu’il fallait – par exemple – faire disparaître quelqu’un sans
laisser de traces. Cela fait sourire Gergely Huth, copropriétaire et
rédacteur en chef de ce site Internet nationaliste. Depuis quelques
semaines, il attaque vertement Emmanuel Macron, dont les ennuis actuels
face aux « gilets jaunes » font les gros titres et suscitent autant d’ironie que de mépris.
Après
le martelage sur les demandeurs d’asile, Bruxelles, l’ONU ou encore
l’université d’Europe centrale, fondée par le milliardaire américain
George Soros, pas un jour ne passe sans qu’un article soit publié sur les déboires du chef de l’Etat français, sous un angle négatif et conspirationniste. « Son arrivée au pouvoir en France n’émanait pas de la volonté du peuple, affirme ainsi M. Huth.
M. Macron était le dernier petit serviteur en date d’un réseau de
financiers, encouragé par les médias occidentaux. En vue des élections
européennes [en mai 2019], les fronts sont devenus très clairs. On aura le choix entre sa vision du monde et celle de Viktor Orban. »" La suite sur lemonde.fr (article payant)
jeudi 13 décembre 2018
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Quel choix! Pour moi, il n'en est pas un, et de loin!
RépondreSupprimerJe crois en effet que ce n'est pas un vrai choix. Le vrai choix est plutôt beigli aux noix ou beigli au pavot et là c'est vraiment cornélien, alors je prends les deux.
SupprimerJPF
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