"Depuis le vote, le 12 décembre, d’un texte permettant aux entreprises d’imposer davantage d’heures supplémentaires et de les payer trois ans plus tard, l’opposition, unie, manifeste de manière non violente. Elle réclame aussi l’indépendance des médias et de la justice.
C’est une fronde sociale inédite à laquelle fait face le Premier
ministre hongrois, le nationaliste Viktor Orbán. Après une vague de
manifestations en décembre, des milliers de personnes devraient à
nouveau défiler ce samedi à Budapest, à l’appel de l’opposition,
d’organisations civiles et de syndicats. Ces derniers pourraient lancer
un appel à la grève. Objet de la colère : une nouvelle loi travail votée
le 12 décembre, qui porte à 400 par an - au lieu de 250 actuellement -
le nombre d’heures supplémentaires qu’un employeur public ou privé peut
demander à ses salariés. La loi autorise l’entreprise à payer ces
heures… trois ans plus tard, selon un mode de calcul défavorable aux
salariés." La suite sur liberation.fr
samedi 5 janvier 2019
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