György Kurtág
Hommage à Mihaly Andras - Douze Microludes op.13 pour quatuor à cordes
Benoit Sitzia
Livre des césures (Rima II), pour quatuor à cordes
György Kurtág
Tre Pezzi pour violon et piano op.14e
Hommage à R. Sch. op 15d, pour clarinette, alto et piano
Jatékok (Jeux) (extraits)
Signes, jeux et messages (extraits)
György Kurtag © Andrea Felvégi |
Hommage à Gy. K., pour alto, clarinette et piano
György Kurtág
Jeux: "La fille aux cheveux de lin - enragée", pour piano
Claude Debussy
"La fille aux cheveux de lin", Préludes Livre I, 8
"Voiles", Préludes Livre I, 2
"Bruyères", Préludes Livre II, 5
"Les collines d'Anacapri", Préludes Livre I, 5
Distribution : Solistes de l'Ensemble intercontemporain
Maître génial et méticuleux de la
forme courte, György Kurtág entretient une relation forte avec
l’histoire de la musique. Les solistes de l’Ensemble intercontemporain
la mettent en lumière dans un programme fait de perspectives et de
lignes de fuite.
En constante recherche d’une écriture personnelle faite d’épure et de cristallisation de l’instant, Kurtág se tourne ainsi bien souvent, et le plus ouvertement du monde, vers ses aînés. C’est donc de réinvention du matériau qu’il est question ici : à la fois hommage (« à R[obert] Sch[umann] par exemple, dans son Opus 15d ou à son compatriote, le compositeur Mihály András pour ses Douze Microludes, op. 13 pour quatuor), inspiration, reprise ou recontextualisation. Ce sont aussi, bien souvent, pour ce compositeur mélomane, des « signes », des « jeux » référentiels (La Fille aux cheveux de lin des Préludes de Debussy devient « enragée », alors qu’elle est si douce dans sa version originale que l’on entendra aussi) ou des « messages »… S’il rend hommage à ses aînés, il n’est pas rare que ses cadets lui rendent la pareille – à l’instar de l’Italien Marco Stroppa, qui reprend pour son Hommage à Gy. K. l’effectif exact de son Hommage à R. Sch. : clarinette, alto et piano.
En constante recherche d’une écriture personnelle faite d’épure et de cristallisation de l’instant, Kurtág se tourne ainsi bien souvent, et le plus ouvertement du monde, vers ses aînés. C’est donc de réinvention du matériau qu’il est question ici : à la fois hommage (« à R[obert] Sch[umann] par exemple, dans son Opus 15d ou à son compatriote, le compositeur Mihály András pour ses Douze Microludes, op. 13 pour quatuor), inspiration, reprise ou recontextualisation. Ce sont aussi, bien souvent, pour ce compositeur mélomane, des « signes », des « jeux » référentiels (La Fille aux cheveux de lin des Préludes de Debussy devient « enragée », alors qu’elle est si douce dans sa version originale que l’on entendra aussi) ou des « messages »… S’il rend hommage à ses aînés, il n’est pas rare que ses cadets lui rendent la pareille – à l’instar de l’Italien Marco Stroppa, qui reprend pour son Hommage à Gy. K. l’effectif exact de son Hommage à R. Sch. : clarinette, alto et piano.
Coproduction Ensemble Intercontemporain, Philharmonie de Paris
Plus d'information et réservation sur philharmoniedeparis.fr
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