Le pianiste et chef d’orchestre d’origine hongroise sera pour un soir à
la Philharmonie, où il servira les plus grands compositeurs, de sa
touche colorée. Un moment sacré !
Vous déployez au clavier un jeu parfaitement pondéré, équilibré,
articulé, sans effet de manche, et en même temps généreux et tendu. Quel
est votre secret ?
Je n’aime pas l’économie de la City de Londres, mais l’économie au sens artistique est, pour moi, la condition sine qua non
d’une bonne interprétation. Bach, Mozart, Chopin, Debussy sont des
modèles de « bon goût », car il n’y a jamais chez eux une note
superflue. Ce qui n’est pas le cas de Liszt, souvent joué de manière
exagérée. Mais peut-être ai-je un problème personnel avec ce
compositeur. J’ai étudié à l’Académie Franz-Liszt, à Budapest, et chaque
jour j’y entendais du très mauvais Liszt !" La suite sur telerama.fr
samedi 6 avril 2019
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