"Le musicien hongrois sort un double album consacré à Schubert. Il
jouera, à Lyon et Evian, les 16 et 18 mai, des pièces de divers
compositeurs, dont Brahms, élément moteur récurrent de son programme.
Avec les deux chaînes à gousset en or sortant des poches du gilet de
son costume trois-pièces, Andras Schiff affiche une touche de dandysme,
dont témoigne son piano aux manières polies et raffinées. A 65 ans, le
Hongrois né à Budapest, depuis naturalisé autrichien (1987) puis
britannique (2001), fait partie des noms qui gravitent dans le cercle
fermé des grands maîtres que la série produite par Piano **** invite
désormais chaque année à la Philharmonie de Paris.
Le petit monsieur mince aux cheveux poivre et sel s’est
assis sans cérémonie devant un piano qu’il ne quittera qu’une fois
jouée une première partie enchaînée sans applaudissements. Une
conception du concert qui ne laisse que peu de place au public, et
finalement encore moins à l’ego de l’interprète. Andras Schiff a fait de
Brahms l’élément moteur récurrent de son programme en forme de club
sandwich, qui associe également Schumann, Mozart, Bach et Beethoven." La suite sur lemonde.fr (article payant)
samedi 13 avril 2019
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