"Cet article de Tristan Ranx, historien, écrivain et journaliste, a été publié originalement sur son blog Ruritanian resistance free press, sous le titre « J’ai retrouvé Eduardo Rózsa-Flores (mais il était déjà mort…) ».
Eduardo Rózsa-Flores dit Chico, journaliste, mercenaire, révolutionnaire, assassin et poète, aura brûlé sa vie de Budapest à la Bolivie, sans jamais se départir d’une totale inconscience. Un homme ou la contradiction trouve sa raison d’être (jusqu’à la mort…)
Les trois corps sans vie sont recouverts de sacs-poubelle noirs et
reposent à l’arrière d’un Pick-up Toyota. Deux jeunes sentinelles
ahuries sont postées à côté du véhicule avec ordre de garder le précieux
gibier du président Evo Morales. Nous sommes en Bolivie, le 16 avril
2009, à Santa Cruz de la Sierra. Sur ces trois hommes de la cellule
terroriste, le chef présumé a été abattu dans son sommeil, quant aux
deux autres, un Irlandais et un Hongrois de Transylvanie, les corps
criblés de balles, ils ont vraisemblablement été tués en tentant une
résistance inutile dans leur chambre luxueuse de l’hôtel las Américas." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
dimanche 28 avril 2019
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