par Bernard-Henri Lévy
Nous nous sommes connus il y a pile trente ans, juste après la chute du mur de Berlin, dans une réunion de dissidents à l'ambassade de France à Budapest.
Le président Mitterrand m'avait demandé un rapport
sur la possible contribution de la France à la reconstruction des pays
d'Europe centrale libérés du joug communiste.
Et il était, à l'époque, lui, Viktor Orban, l'une des figures les plus étincelantes de cette opposition, désormais victorieuse, à l'ordre soviétique.
Il était le jeune auteur d'un mémoire sur la Pologne de Solidarnosc rédigé grâce à une bourse octroyée par George Soros." La suite sur lepoint.fr (article payant)
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