"Les ouvriers du site Hankook de Racalmas, en Hongrie, ont le sourire:
après dix jours de grève, ils ont obtenu une hausse inédite de salaire
de 18% dans ce pays où les grands constructeurs doivent lâcher du lest
faute de main d'oeuvre.
Fleuron de l'industrie hongroise, le secteur automobile représente près
de 20% de la richesse nationale après que de nombreux constructeurs et
équipementiers allemands et asiatiques y ont délocalisé leur production,
attirés par une fiscalité avantageuse et des salaires bas. Mais, alors
que le niveau de vie des pays d'Europe centrale et orientale progresse
régulièrement, Gabor Szabo et ses collègues n'ont plus voulu se
contenter de leurs 500 euros mensuels, un revenu à peine supérieur au
minimum légal: "Nous voulons un salaire décent, et du respect"." La suite sur rtbf.be
mercredi 3 avril 2019
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.