Des
haltérophiles contrôlés de temps en temps seulement, des échantillons
manipulés, un système de corruption qui serait organisé et couvert par
le président de la Fédération internationale (IWF), Tamas Ajan,
lui-même. Ces éléments rappellent le scandale du dopage généralisé en Russie, dévoilé fin 2014, ou celui de la Fédération internationale d'athlétisme, touchée par un système de corruption visant à retarder la suspension d'athlètes russes contrôlés positifs.
L'IWF,
dans le collimateur du Comité international olympique (CIO) depuis deux
ans, aurait, selon une enquête diffusée dimanche sur la chaîne
allemande ARD, couvert pendant des années des pratiques de dopage et mis
en place « une culture de corruption », sous la houlette de son
président historique, le Hongrois Ajan. Au moment de la diffusion du
reportage, la IWF n'avait pas réagi." La suite sur lequipe.fr
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