"A quoi a servi la loi « esclavagiste » adoptée il y un an et qui a
provoqué un vaste mouvement de contestation contre le Fidesz ? Dans les
entreprises, rien n'a changé. Dans l'administration publique, c'est une
autre histoire...
C'était il y a un peu plus d'un an. Le 12
décembre 2018, le parlement hongrois adoptait dans la discorde une loi
qui augmente le seuil maximum d’heures supplémentaires de 250 à 400 par
an, avec 130 voix pour et 52 contre. Le texte prévoyait aussi que . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
mardi 14 janvier 2020
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