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La vieillesse d’Anna dit Anton Prinner. Plâtre de 1954 et bronze de 2019.
© Photo NR |
"Installée au bord du parc de sculptures, en surplomb, cette statue
d’Anna dit Anton Prinner, émerveille tout autant qu’elle glace. Ce
bronze patiné est d’une incroyable beauté, d’une incroyable élégance,
d’une extraordinaire lucidité. Plus vraie que vraie cette sculpture en
dit tellement sur la vieillesse qu’elle ne pouvait prendre d’autre nom.
Recroquevillé, le vieillard est assis et la courbe que dessine son dos
et sa nuque ne porte son regard qu’à quelques mètres. Son horizon est
limité comme pour être plus encore en adéquation avec son avenir." La suite sur
lanouvellerepublique.fr
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