"Désormais, le non-respect de l’État de droit par un pays de l’Union européenne peut entraîner un blocage d’une partie des fonds européens. Une révolution qui n’a pas encore pleinement abouti.
Les pères fondateurs de l’Union européenne n’avaient pas pensé qu’un membre de ce club voudrait un jour reculer sur les avancées démocratiques, d’autant que l’État de droit était perçu comme le corollaire d’une économie florissante. De plus, les chefs d’États et de gouvernements ne sont pas prêts non plus à se voir contrôler par une entité supranationale ou les autres nations.
Cela explique qu’il n’y ait pas de réel outil européen pour
empêcher l’apparition d’un régime autoritaire au sein des 27 États
membres. Tant que les règles démocratiques sont respectées. C’est par ce
biais que la Commission européenne a commencé à être autorisée à agir.
D’abord par peur de l’extrême droite en Autriche, avec Jörg Haider,
arrivée au pouvoir dans un gouvernement de coalition en 1999." La suite sur ouest-france.fr
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