"Viktor
Orban, premier ministre hongrois, avec le soutien de certains
gouvernements d'Europe de l'Est s'oppose au mécanisme préventif et
permanent de répartition des réfugiés que Bruxelles a prévenu
d'instaurer à la fin du mois de juin.
Au plus fort de l'exil syrien en 2015, Hongrois,
Tchèques, Slovaques et Polonais ont massivement rejeté les «quotas»
temporaires votés sans eux par une majorité de capitales, sous la
houlette de Berlin. Cette polémique empoisonnée va s'enflammer à nouveau
d'ici à l'été: fin juin est la date-butoir que l'UE s'est fixée pour
installer un mécanisme préventif et permanent de répartition des
réfugiés, avec l'espoir de prévenir la sordide défausse d'il y a trente
mois." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
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