"Nous remercions vivement Gergely Marosi de nous avoir permis de traduire cet article, écrit en anglais pour le site Hungarian Football et publié sous le titre suivant : « Jozsef Stadler: The Man Who Filed A Tax Return For The Last Supper ».
J’ai le regret de décevoir tout le monde : le titre fait seulement
référence à une légende urbaine. Mais cette légende urbaine en dit long
au sujet de József Stadler, l’un des plus iconiques propriétaires de
club hongrois. Cet homme a grandi dans une ferme isolée, a travaillé
comme berger, a baigné dans de multiples magouilles, a mis sur pied son
propre club de football, l’a guidé en première division, a fait
construire un stade d’une capacité de 12 000 places dans un village de 3
000 habitants. Il a terminé sa vie en prison, le club de football a
cessé d’exister, le stade est dans un état de délabrement avancé.
L’histoire de Stadler suinte la Hongrie des années 1990.
« Ah, je me souviens quand nous transportions dans une brouette de l’argent destiné à M. Stadler
! Nous avions conclu un accord avantageux, qui consistait à importer
des produits d’Ukraine et à les emmener en Allemagne. Nous n’avions pas
les infrastructures nécessaires, donc M. Stadler nous a
offert son aide et ses camions. En échange, nous devions contribuer au
financement de son stade. C’était un type honnête. Et il a toujours été
correct avec nous en affaires. » " La suite sur footballski.fr
mardi 27 février 2018
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