"Quasiment assuré d’être réélu en avril, le leader “illibéral” renforce
la pression sur le milliardaire américain natif de Budapest et les
organisations dénonçant la politique migratoire hongroise. Présenté
mercredi 14 février au Parlement, le potentiel ensemble de lois visant
le philanthrope polarise l’attention de la presse magyare.
Mi-janvier, la proposition de loi “Stop Soros” entendait obliger les ONG
“encourageant l’immigration illégale” à rendre compte régulièrement de
leurs activités, imposer 25 % de taxe punitive à celles percevant plus
d’argent de l’étranger que de la Hongrie et bannir les Magyars ou les
personnes d’autres nationalités aidant les réfugiés à rentrer dans le
pays. Cette semaine, Budapest enfonce le clou et contraindrait ses
“cibles” à obtenir l’aval du ministère de l’Intérieur sous peine
d’interdiction d’exercer, indignant les concernés et le commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, Nils Muiznieks." La suite sur courrierinternational.com
samedi 17 février 2018
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