"Maternité.
Elle avait été condamnée à deux ans de prison ferme après
la mort de deux nouveau-nés au cours d'accouchements à domicile
clandestins en Hongrie. Agnes Gereb, sage-femme qui milite depuis
plusieurs dizaines d'années pour le droit des femmes à pouvoir accoucher
à domicile, a affirmé ce vendredi avoir demandé la grâce
présidentielle, évoquant l'absence de faute. La femme de 65 ans est
considérée comme une des principales instigatrices d'un assouplissement
de la loi hongroise en faveur d'une autorisation de cette pratique en
2011. Elle est également créditée de l'amélioration des conditions
d'accouchement dans les maternités hongroises, et de l'autorisation
accordée aux pères d'assister aux naissances." La suite sur liberation.fr
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.