"La Hongrie n’avait plus atteint ce stade de la compétition depuis longtemps. Pour les JO de 2014 et de 2018, elle n’était pas parvenue à se qualifier pour le dernier tour de qualification en tombant contre des adversaires bien moins bien classée : la Pologne et les Pays-Bas. Cette fois, elle s’est qualifiée en battant la Grande-Bretagne chez elle. Performance de l’ère Jarmo Tolvanen, l’ancien entraineur de Dijon, vainqueur de la coupe de France 2012 et élu meilleur entraineur de Magnus deux ans plus tard. Derrière le banc, c’est pourtant un nouvel entraineur d’un tout autre calibre (et tout autre salaire?) qui lui a succédé en la personne de Sean Simpson. Il a rejoint les Hongrois depuis déjà un moment mais l’équipe nationale est privée de compétition officielle tout comme la France depuis des mois.
Cela n’a pas permis à la Hongrie de gagner malgré un début de match
idéal contre les Bleus, grâce notamment au virevoltant Janos Hari. Sa
défense et son jeu en infériorité numérique n’étaient pas à la hauteur.
La tâche s’annonce encore plus impossible face à la Lettonie facile
vainqueur de l’Italie et impressionnante de maîtrise. Mais elle pourra
compter sur son habituelle bruyante colonie de supporters venus comme
toujours en nombre." La suite sur passionhockey.com
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