"Après 46 ans de régime communiste, le départ des troupes soviétiques de la Hongrie fut perçu comme une libération, d’autant plus que le drame de la répression de la révolution anticommuniste en 1956 n’avait jamais été oublié.
La Hongrie se félicitait de retrouver une liberté dont elle avait été privée. On y envisageait avec bonheur d’adopter le libéralisme économique et la démocratie, et s’y félicitait de la séparation prochaine des branches législatives et exécutives du gouvernement.
Or, l’autoritarisme « illibéral » représenté aujourd’hui par le
premier ministre, Viktor Orbán, est de retour. Comment expliquer ce
revirement ?" La suite sur ledevoir.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.