"En Hongrie aussi, gauche et droite se sont écharpées autour de la mort du chef d’État cubain Fidel Castro le 25 novembre 2016, à l’age de 90 ans.
Le gouvernement hongrois a profité de la session parlementaire de ce lundi pour attaquer la gauche sur son rapport ambigu au régime communiste cubain et dénoncer ainsi ses sympathies pour un « dictateur sanglant ». Bence Rétvári, secrétaire d’État au ministère des ressources Humaines, a chargé le premier en accusant Zsolt Gréczy, porte-parole de la Coalition démocratique (DK) d’entretenir la nostalgie du castrisme. Le membre du gouvernement considérant même que les personnes adoptant telle attitude ne pouvaient pas être considérées comme des démocrates." La suite sur hu-lala.org
mercredi 30 novembre 2016
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