"Puskás, c’était l’icône de la Hongrie surpuissante des 50's, le troisième canonnier du trio complété par Kopa et Di Stéfano au Real et le premier vrai renard des surfaces avant Inzaghi. Au-delà du sacre olympique, de la finale perdue avec l’Equipe d’Or, de son nombre de pions démentiel et de son prix couronnant le but de la saison, voici dix histoires un poil moins connues sur le regretté « Pancho ».
1. Ses funérailles de roi
Qu’est-ce
qui unit le premier souverain du royaume de Hongrie sacré en l’an mil et
l’empereur de la patate du gauche aux 25 mètres ? Réponse : la
basilique de Budapest. Le premier lui a donné son nom (Saint-Etienne).
Le second y repose tout comme son camarade Sándor Kocsis, la « Panthère Noire »
des cages Gyula Grosics et l’ultime rescapé du Onze magique, Jenő
Buzánsky, décédé en janvier 2015. Le dix indépassable eut droit à des
adieux quasi divins avec honneurs militaires et concert de larmes. Son
convoi mortuaire, escorté par des torches et des milliers de fans, a
paralysé le centre de la capitale." La suite sur sofoot.com
jeudi 17 novembre 2016
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