"Depuis sa révolte en février, l’ancien diplomate nourri par le système bouscule le régime qui paraissait invincible. La galaxie Orbán se démène pour discréditer ce dangereux rival d’ici aux élections de 2026.
En
quatorze ans de règne, Viktor Orbán n’a jamais eu de rival aussi
sérieux. Le 11 février, le dissident Péter Magyar se rebellait après le
retrait de la vie publique de son ex-épouse Judit Varga (ex-ministre de
la Justice) et de la présidente Katalin Novák, chassées par la grâce
d’un pédocriminel. Le 9 juin, son parti Tisza obtenait 30 % et sept
sièges européens, chamboulant la suprématie du Fidesz au pouvoir depuis
2010. Aujourd’hui, Tisza domine les sondages et menace Orbán à 17 mois
des législatives." La suite sur lesoir.be (article payant)
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