"Le Premier ministre hongrois rapproche la situation de la leader de l’extrême droite française au « harcèlement judiciaire » dont l’Américain aurait été victime.
POLITIQUE - Bons baisers de Hongrie. Après ses propres troupes, une partie de la droite voire de la macronie, Marine Le Pen reçoit un nouveau soutien après les réquisitions du parquet qui réclame une peine d’inéligibilité à son encontre dans le procès des assistants parlementaires du FN. Il s’agit de Viktor Orbán, le premier ministre hongrois.
Dans un message publié (en anglais) sur le réseau social X, le dirigeant
- proche de Moscou et de tout ce que le monde compte de populistes -
envoie son soutien à la cheffe de file de l’extrême droite française et
cite les déboires de Donald Trump avant elle pour mieux la réconforter." La suite sur huffingtonpost.fr
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