"Ils pensaient transformer l’essai et jouer des coudes au Mondial russe
après un Euro honorable stoppé en huitièmes de finales par les Diables
rouges. Malgré les stades construits à foison en Hongrie, la pluie
d’argent déversée sur le foot par le gouvernement de Viktor Orbán et le
charisme de capitaine Dzsudzsák, le « Nemzeti 11 » de Bernd Storck a
vécu son Knysna en se cassant les dents contre Andorre vendredi dernier
et n’ira pas à la Coupe du monde 2018. Un retour de bâton mérité ?
« Il y a un an, on était au top. Aujourd’hui, c’est l’enfer. J’ai donné mon maximum et en réponse on me balance : "Dzsudzsák l’arabe", "Dzsudzsák le fou du pognon".
Je suis le capitaine et le premier fautif, celui qui doit payer.
J’assume les conséquences. Il n’y a pas de mots ni de pardon qui
tiennent. » Balázs Dzsudzsák, l’Émirati d’adoption chéri du côté
d’Abu Dhabi, pleure comme une madeleine dans la zone mixte de l’Estadi
Comunal. Son doublé contre le Portugal à l’Euro et l’incroyable parcours
en France de ses camarades magyars sont déjà aux oubliettes. Le « Nemzeti 11 » , défait 1-0 par Andorre, est devenu la risée d'un pays qui se pâmait littéralement devant la sélection un an auparavant." La suite sur sofoot.com
vendredi 16 juin 2017
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