"Fondé en 1991 par le milliardaire américain, bête noire du Premier ministre nationaliste Viktor Orbán, le campus anglophone, sur lequel le gouvernement n’a aucune mainmise, sera privé de licence s’il n’ouvre pas un site dans son pays d’origine.
Un léger vent d’optimisme souffle sur le palais XVIIIe siècle qui abrite l’Université d’Europe centrale (CEU) en plein cœur de Budapest. «La
CEU fait sa rentrée à Budapest l’année prochaine! Et nous espérons
qu’une solution rapide va être trouvée pour que nous puissions rester en
Hongrie pendant des décennies» affirme son recteur, Michael Ignatieff." La suite sur liberation.fr
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