"Selon ce politologue proche du pouvoir, les réussites économiques et
politiques du dirigeant magyar justifient sa réélection le 8 avril.
Explications en dix points.
L’importante popularité du parti Fidesz n’est pas seulement due à la
figure de Viktor Orbán ou à la maladresse de l’opposition. Si le
positionnement clair et suivi de Budapest au moment de la crise
migratoire de l’été 2015 a nettement épaissi sa stature, le Fidesz est
surtout parvenu à diffuser un message fort auquel la société adhère. Il
se retrouve dans une situation beaucoup plus confortable à l’approche
des élections que n’importe quel gouvernement national depuis la fin de
la Seconde Guerre mondiale.
1. Tout d’abord,
l’ambiance n’est pas au changement de majorité. Si la question d’une
nouvelle administration ou de la défaite du pouvoir en place surgit
régulièrement dans le débat public, il reste néanmoins évident que
l’opposition ne parvient pas à séduire l’opinion, peu convaincue de la
nécessité d’un basculement à gauche. La plupart des sondages montrent
que la moitié des Hongrois choisiraient de redonner un nouveau mandat au Premier ministre Viktor Orbán s’il fallait élire..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
samedi 7 avril 2018
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