"La question migratoire au cœur des tensions entre l'Ouest et l'Est risque de précipiter l'Union européenne dans une grave crise politique. Explications.
Conforté par sa victoire électorale, Viktor Orban
n'a aucune raison d'offrir aux Européens la moindre concession sur la
question migratoire. Comme son voisin polonais, il a refusé, en 2016,
d'accueillir en Hongrie
le moindre demandeur d'asile quand le Conseil européen a mis en place
une solution provisoire de « répartition obligatoire », de manière à
soulager la pression qui s'exerçait sur l'Italie et la Grèce. L'apogée de la crise – 1,3 million de demandes d'asile en Europe
en 2015 et 1,2 million l'année suivante – semble passé, mais la
pression reste considérable avec 705 000 demandes d'asile recensées
auprès des 28 pays de l'Union européenne en 2017, selon Eurostat." La suite sur lepoint.fr
mardi 17 avril 2018
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