"Injustement oublié, Nicolas Schöffer (1912-1992) a été à la pointe de la
recherche artistico-technique dans les années 50 à 70. Le LaM de
Villeneuve-d’Ascq tire de l’ombre son œuvre fluide, géométrique et
poétique. Quoique datée.
C’était le temps de la croissance effrénée et du progrès roi. On
construisait des barres interminables et des tours triomphantes. Né
en Hongrie en 1912, venu à Paris pour étudier les beaux-arts,
naturalisé en 1948, Nicolas Schöffer a pleinement participé à ce
mouvement. Il a imaginé des immeubles sur pilotis et une tour
cybernétique, éclairée par 3 000 projecteurs, à la Défense, jamais
réalisée car bien trop coûteuse.
Mais il a aussi conçu un étonnant théâtre ovoïde où
les spectateurs se trouvaient au centre de l’espace, sur des gradins
étagés." La suite sur lavoixdunord.fr (article payant)
vendredi 13 avril 2018
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