mercredi 11 avril 2018

Làszlo Krasznahorkai : "En fait, la beauté ne disparaît jamais, c'est à nous de l'apercevoir"

"L'écrivain hongrois, auteur d'une dizaine de romans, nouvelles et essais, dont certains des romans ont été adaptés par le cinéaste hongrois Béla Tarr, publie un nouveau roman : "Séiobo est descendue sur terre", dans une traduction de Joëlle Dufeuilly, aux éditions Cambourakis.
On utilise le mot épiphanie (du grec ancien epiphaneia, « manifestation, apparition soudaine ») pour designer la compréhension soudaine de l'essence ou de la signification de quelque chose. Le dernier roman de Làszlo Krasznahorkai, qui paraît en France dix ans après sa parution en hongrois, pourrait être présenté comme un feuilletage d'épiphanies. Qu'elle se dérobe ou qu'elle s'offre totalement - contradictions comprises - il est question d'une beauté qui fait retour, et de notre regard plus ou moins disponible à elle. La ville de Kyoto, ville d'allusions, la ville de Florence et sa peinture, la ville de Paris et son musée, point de limite géographique au voyage qu'il nous propose dans Seiobo est descendue sur terre, qui paraît aux éditions Cambourakis, dans la traduction de Joelle Dufeuilly. Dominique Radanyi est notre interprète du hongrois." La suite et à écouter sur franceculture.fr 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.